L’Iliade. Chant 8.
La guerre. La guerre. La guerre.
Zeus a interdit à toutes les déesses d’intervenir.
Il se réveille, Zeus, et semble vouloir tenir sa promesse du chant 1 – est-il encore temps (on est au chant 8 ! Il y en a 24) ? Quand Jean-Pierre Bacri pique une colère, tout le monde s’arrête. Ainsi Zeus.
Et du coup, les coups pleuvent sur les grecs.
Hector entrevoit la victoire. Athéna et Héra tentent une aide, mais Zeus les arrête. Sa colère contre elles serait immense. Elles obéissent.
Ce n’est que la nuit qui arrête les troyens.
La guerre fait bien des morts grecs. Mais rien de décisif. Hector aurait aimé tuer Diomède, ou Ajax, ou Ulysse… Ceux-ci ne sont pas morts, n’ont pas fuit non plus…
La nuit s’impose à tous.
Bonne nuit.
P.S. Un paragraphe de plus pour Teucros, qui fit bien mal aux troyens, en réponse aux assauts. Et ce Teucros est pourtant un neveu de Priam, le roi troyen. On voit toujours autant de nébulosité dans la frontière qui sépare grecs et troyens.